Histoire(s) de la Dernière Guerre

Il y a 70 ans

Le 07 Octobre 1954

Au sommaire du n°18

LES ARMES CHIMIQUES ET BIOLOGIQUES
DURANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE,
NAISSANCE DE LA DISSUASION
OPÉRATION « ANTHROPOID »
L’ASSASSINAT DE REINHARD HEYDRICH
STOPPER YAMAMOTO !
LES BATAILLES DE LA MER DE CORAIL
ET DE MIDWAY
DOSSIER : LA VICTOIRE DE ROMMEL ?
...

puce En savoir plus

Trouver la PressePRATIQUE : voici l'outil indispensable pour trouver votre magazine préféré près de chez vous : www.trouverlapresse.com

Article exclusif web

Été 1940 : la guerre vue de partout

La chute de la France crée sur la planète une onde de choc, rarement décrite dans son ensemble. Le présent article esquisse un tour des grandes capitales et de certaines plus petites.

 

puce Télécharger l'article

Histoire(s) de la Dernière Guerre n°4

Histoire(s) de la Dernière Guerre n°4 : la Guerre d'Espagne

Au sommaire :

PASSEUR D’HISTOIRE
PATRICK DESBOIS
RACONTE

Les recherches initiées par Patrick Desbois en Ukraine en 2003, connues sous le nom de « Shoah par balles » (forgé par le journaliste Henri Tincq dans l’un des premiers articles sur le sujet), et qui se développent actuellement dans toute la partie de l’ex-URSS envahie par l’Armée allemande, constituent l’un des apports récents les plus précieux à l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.

puce Lire l'interview.

NAZISME
LES GUERRES ANTIQUES
VUES PAR LES NAZIS

« C’est une autre Carthage » : c’est par ces mots que Harry L. Hopkins, compagnon de Roosevelt, puis conseiller du président Truman, commente les ruines de Berlin lorsque, en route pour Moscou pour ce qui devait être sa dernière mission, il survole la capitale du défunt Reich. Carthage rime avec ravage : Berlin, bombardée par les Alliés, pilonnée par les orgues de Staline, objet d’un Strassenkampf (combat de rues) acharné, est détruite à 90 %. Son aspect lunaire évoque à l’humaniste Hopkins la destruction de la prestigieuse et fière cité punique par les légions du général Scipion, qui gagna, dans cette victoire, le cognomen d’Africanus.

GUERRE CIVILE
LA GUERRE D’ESPAGNE
RÉPÉTITION GÉNÉRALE AVANT LE CONFLIT MONDIAL

Au début du XXe siècle, l’Espagne est une puissance sur le déclin. En 1898, à l’issue de la guerre hispano-américaine, le royaume a dû renoncer aux derniers joyaux de son empire colonial : les Philippines, Cuba et Puerto Rico. Seuls la Guinée, le Maroc et le Río de Oro demeurent sous sa souveraineté. Au traumatisme de la défaite face aux États-Unis se sont ajoutées les rébellions au Maroc ayant débouché sur la sanglante guerre du Rif de 1921 à 1926.

ESPIONNAGE
SUR LE FRONT
DE LA GUERRE SECRÈTE

À la différence de l’été 1914, les premiers temps de la guerre en septembre 1939 ne sont pas marqués en France par des combats immédiats, mais par le processus de passage à l’état de guerre. Organe discret mais essentiel de l’appareil de défense, les services de renseignement n’échappent pas à cette transition.

Les Chroniques de Mars 1940
DOSSIER
LE MONDE COLONIAL
ET LA GUERRE

« Les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures » [mais aussi] « le devoir de les civiliser [...] Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles précédents [...]. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation. »
Jules Ferry, 28 juillet 1885

LA FRANCE, L’EMPIRE ET LA GUERRE
ENTRE SLOGANS ET RÉALITÉS POLITIQUES, ÉCONOMIQUES ET MILITAIRES

« Nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts »
Affiche et carte de souscription aux bons d’armement, 1939.
« Messieurs, donnez-moi un million de Sénégalais et j’enfonce la ligne Siegfried en une journée… » Conférence prononcée en 1939 par le général Bührer, chef d’état-major général des colonies, devant de jeunes offi ciers de tirailleurs (souvenirs du lieutenant Deschênes, 1982).

À la veille de la guerre, ces extraits de la presse ou de conférences radiophoniques et publiques, sans oublier l’iconographie patriotique, donnent le ton des messages martelés par la propagande quant au rôle de l’empire. Mais, derrière ces slogans, qu’en est-il réellement des poids politique, économique et militaire des colonies dans le conflit qui se déclenche le 3 septembre 1939 ? Traiter de l’apport de l’outre-mer nous plonge au coeur des équivoques et mythologies1 qui caractérisent le fait colonial et conduit à aborder les ambiguïtés et les atermoiements qui marquent la doctrine politique et militaire française de l’entre-deux-guerres.

À LA RECHERCHE DE L’ EMPIRE PERDU ?
AMBITIONS COLONIALES DU IIIe REICH

Arrivée tardivement dans le cénacle des puissances coloniales, la jeune Allemagne unifiée se taille entre 1884 et 1914, dans le Pacifi que et surtout sur le continent africain, un empire outre-mer conséquent bien que morcelé et d’une valeur limitée tant au plan économique que stratégique. Parallèlement, elle se dote d’une puissante flotte de guerre capable de soutenir ses ambitions mondiales en pleine ascension.

POLITIQUE
L'ENNEMI INTÉRIEUR ?
LE PCF FACE À LA GUERRE

« Ainsi, par haine du bolchevisme, une partie de la bourgeoisie française est tombée rapidement dans une stupéfiante indulgence à l’égard de l’Allemagne hitlérienne. [...] Et pendant ce temps, étonnante contradiction, ce sont les communistes qui clament le danger allemand ! Ah, drôle d’époque. »
Henri de Kérillis, Français ! Voilà la guerre, 1937

Les Chroniques d'Avril 1940
 
LA GUERRE
LA CAMPAGNE
DE NORVÈGE

En vérité, il n’y avait pas la moindre chance pour que l’on aille se battre en Norvège. Entre les deux guerres, ce pays était superbement ignoré des grandes puissances, et il s’en accommodait parfaitement. D’ailleurs, si l’on ne s’était pas battu en Scandinavie durant la Grande Guerre, pourquoi le ferait-on lors d’un nouveau confl it ? De l’avis général, le « coin tranquille de l’Europe » était voué à le rester. Mais le destin en décidera tout autrement…

SCIENCES
LA MOBILISATION SCIENTIFIQUE FRANÇAISE
DES SAVANTS SOUS LES DRAPEAUX

Dès septembre 1939, le gouvernement français organise la mobilisation scientifique. Le CNRS est né de la volonté de se préparer à une guerre longue, qui aboutit aussi aux premières recherches sur la bombe atomique.

POLITIQUE
OSWALD MOSLEY
LE FASCISME À L’ANGLAISE

Le nom d’Oswald Mosley est bien oublié aujourd’hui. Tout au plus a-t-on évoqué la mémoire du « fondateur du parti fasciste britannique » lorsque son fils, Max, s’est trouvé impliqué en 2008 dans l’un de ces scandales à connotation sexuelle que la presse populaire d’outre-Manche affectionne.

MAGAZINE
         > À LIRE
         > À LIRE SECTION JEUNESSE
         > D’HIER À AUJOURD’HUI
                  Création de l’IFOP
                  Les JO d’hiver de 1936
         > CINÉMA : Le cinéma allemand et les nazis
         > LA GUERRE AMUSE...
         > LA GUERRE S’AFFICHE

Accueil - Le Magazine - Les auteurs - En kiosque - Anciens numéros - Revue de Presse - Article inédit de François Delpla- Les chroniques - Abonnement - Contacts - Accès presse